Présentation

Historique en bref
Le nom de la commune évoque à la fois le premier évêque de Limoges au IIIème siècle, particulièrement vénéré en Périgord, et les rives ombragées de la Loue. Le vieux mot occitan « auberada » ou « albareda », issu lui-même du bas-latin « albarius » désigne le peuplier blanc, arbre qui pousse communément au bord de nos rivières.

Le territoire de cette commune se partage entre la fraîcheur de la plaine de la Loue, dont les eaux faisaient tourner la roue des moulins de Tabary et de Liaurou, et la sécheresse du causse périgourdin, au sol si ingrat pour les paysans d’autrefois. Pour le cultiver, il fallait enlever les pierres du milieu des champs. Elles étaient ensuite amoncelées dans des enclos délimités par des murettes appelées « cheyroux ». Certaines sont encore visibles, ainsi que des cabanes de pierre sèche – Le terme de borie couramment utilisé n’est pas approprié à la région – : vous pourrez en voir entre le hameau des Farges et La Gondie. Elles servaient le plus souvent de remises à outils pour les vignerons.


En 1793-1794, des mines de fer étaient exploitées au Faureau ; elles étaient la principale source d’approvisionnement de nombreuses fonderies du secteur d’Excideuil. Un étang au lieu-dit « Verrière » fut utilisé pour le lavage du minerai.

En 1900, la commune possédait une brasserie créée en 1855 par le lorrain Jean Gangloff et un four à chaux à La Rebière.

Situation géographique
Coordonnées GPS :
Latitude   : 45° 19’ 33’’
Longitude : 01° 01’ 54’’
 Superficie : 10,28 km2
Nombre d’habitants : 453 (données 2020)
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Les 36 lieux-dits ou hameaux de Saint-Martial-d'Albarède